La peinture "La demoiselle au turban" de Lévy-Dhurmer
La peinture "La demoiselle au turban" est une œuvre de Maurice Lévy-Dhurmer, artiste français du XIXe siècle connu pour ses peintures symbolistes et ses décors d'intérieur. Cette œuvre représente une jeune femme portant un turban sur la tête et regardant directement le spectateur.
Description de l'œuvre
"La demoiselle au turban" est une peinture à l'huile sur toile mesurant 66,50 x 50 cm. Elle représente une jeune femme aux traits délicats, portant un turban de couleur sombre sur sa tête. Le turban est noué de façon complexe et les plis du tissu sont représentés avec précision. On peut également distinguer une broche ornée de pierres précieuses sur le turban.
Les couleurs utilisées sont principalement des tons sombres, avec des nuances de brun, de noir et de gris. La jeune femme semble être vêtue d'une robe sombre et porte des boucles d'oreilles en or.
Le fond de la peinture est plutôt sobre, avec un mur en pierre grise et des éléments de décoration discrets. L'attention est clairement portée sur la jeune femme et son regard intense.
Provenance de l'œuvre
"La demoiselle au turban" a été mise en vente lors d'une vente aux enchères organisée par Artcurial, une maison de vente française spécialisée dans l'art et les objets de collection. L'œuvre a été présentée aux côtés d'autres maîtres anciens et du XIXe siècle lors de cette vente.
Autres œuvres de Lévy-Dhurmer
Maurice Lévy-Dhurmer était un artiste polyvalent, connu pour ses peintures, ses pastels et ses décors d'intérieur. Il a été influencé par le mouvement symboliste et a souvent représenté des figures féminines mystérieuses dans ses œuvres.
Parmi ses autres œuvres célèbres, on peut citer "Le Bosphore avec la tour de Léandre, Istanbul", un pastel représentant une vue de la ville d'Istanbul avec une tour emblématique en toile de fond. Cette œuvre a également été présentée lors de la vente aux enchères organisée par Artcurial.
Conclusion
En tant que représentation classique de la figure féminine dans l'art du XIXe siècle, "La demoiselle au turban" de Maurice Lévy-Dhurmer reste une œuvre d'une grande beauté et d'un grand intérêt artistique. Elle témoigne de l'habileté de l'artiste à représenter les plis complexes d'un tissu et son regard intense permet au spectateur d'entrer en relation avec cette jeune femme mystérieuse.
Il est intéressant de noter que Lévy-Dhurmer était un artiste polyvalent et que ses autres œuvres, telles que "Le Bosphore avec la tour de Léandre, Istanbul", témoignent également de son talent dans différents domaines artistiques.
Références :
Figaro : journal non politique - Gallica - BnF
gallica.bnf.fr/ark:/12148/b...[PDF] Vincent Fraysse commissaire-priseur - Bibliorare
www.bibliorare.com/wp-conte...[PDF] La vagabonde; roman par Colette Willy - zanebetvoltaire
zanebetvoltaire.fr/wp-conte...La Demoiselle au Turban, que la légende raconte, était une jeune fille d'une grande beauté. Sa chevelure, qui n'était jamais exposée aux éléments, cachait toute une histoire. Son turban, fait de soie et de coton, était orné d'un saphir unique et précieux.
Lorsqu'elle marchait dans les rues, elle était considérée comme une princesse. Chaque personne qu'elle croisait lui offrait des cadeaux, des rubans et des bijoux. Certaines lui chantaient des chansons de joie et de bonheur. Elle était préservée de la cruauté du monde extérieur et les gens le sentaient.
Malgré tous ses attraits, la demoiselle au turban avait une tristesse dans son regard. Les gens ne savaient pas ce qui la troublait, mais ils savaient qu'elle était seule. Les gens se demandaient quel malheur les avait séparés de son amour.
Un jour, un jeune homme à cheval s'arrêta devant elle. Il remarqua le saphir qui brillait dans le soleil et lui offrit un sourire éclatant. La demoiselle au turban sentit qu'il l'avait vue et qu'il était venu lui offrir l'amour dont elle avait tant besoin. Il lui expliqua que l'amour était la seule chose qui pourrait la sauver.
Émue par son geste, elle accepta et finalement, elle put vivre heureuse avec son amour. Bien que la légende soit à moitié vraie, elle nous rappelle que l'amour peut nous sauver toutes les fois où nous sommes tristes ...